Interview de Théo Baffie, étudiant en LAK
Découvrez l’interview de Théo Baffie, ancien étudiant en LAK à la Faculté des Sciences et qui a terminé ses études de Kiné en tant que major de promotion.


Quel est ton parcours ?
Je suis né en Ardèche, donc j’ai réalisé toute ma scolarité dans ce département. J’ai obtenu un bac scientifique dans un lycée d’Aubenas (07). À la fin du lycée, je me suis donc rendu à Montpellier pour poursuivre mes études, dans le but de devenir kinésithérapeute.
Pourquoi avoir choisi une LAK à la FdS ?
J’ai toujours voulu faire Kiné. Au moment de ma première année à la faculté, il y a eu l’apparition des filières PASS et LAS, en plus des redoublants PACES. Le nombre de places attribuées pour chaque voie d’accès n’était pas encore disponible.
En me renseignant sur les deux éventualités, les places en Kiné pour la LAS étaient déterminées et avec un rapport plus avantageux que pour la PASS (8 pour 80 en 2020). Les modalités d’enseignements me paraissaient compatibles avec les exigences du concours PASS et des études de kinésithérapie, c’est pourquoi je me suis lancé sur une LAK à la fac de sciences.
Enfin, en cas d’échec, j’avais la possibilité de retenter ma chance en LAK 2, ou même rester dans cette filière qui me plaisait si je ne pouvais pas accéder aux études de kiné.
Quels sont les avantages de cette formation qui t’ont permis d’exceller ?
La premier avantage est que le rapport places en kiné/nombre d’étudiants était plus favorable que sur les autres voies d’accès.
Ensuite le programme de formation était complet et adapté aux attentes de la formation en kinésithérapie.
Les études étaient aussi plus représentatives des études de kiné, avec notamment plus de travaux pratiques, de travaux de groupes, etc…
Je suis donc arrivé en première année à l’école de kiné sans lacunes, même si les cours d’anatomie ne sont pas abordés à la faculté.